Sophie,
Un soir de décembre, tu nous a laissés, seuls, sur le bord du chemin.
Un bon mois plus tôt, tu nous faisait part de ta joie d’avoir obtenu le sésame tant convoité, je te cite :
Tu seras passée en coup de vent dans nos vies, mais ce passage aura imprégné nos coeurs de façon indélébile.
Toujours prête à servir de sac de sable lors de nos ballades, nous attendions avec impatience de devenir à notre tour ton passager.
Je crois pouvoir affirmer que parmi nous tu as été heureuse. En tous cas, tu nous as rendu heureux.
Aujourd’hui, nous n’avons qu’un devoir : Celui de continuer à avancer comme ,dans d’autres circonstances, tu nous aurais exhorté à le faire.